Archives quotidiennes : 19 avril 2016

La solidarité à l’épreuve chez les bijoutiers perpignanais dans la seconde moitié du XIXe s.

Soumis aux fluctuations de la conjoncture, les ateliers de bijouterie connaissent une importance variable à Perpignan au cours du XIXe siècle. En 1858, l’atelier du bijoutier Joseph Mourat, 20 rue de l’Argenterie, comprend par exemple « un établi à 7 places, plus une place séparée ». Comptant près de dix employés, cet atelier, par le volume de son personnel, n’est pas loin d’atteindre une dimension industrielle. A la faveur de cette situation, … Continuer la lecture

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Le syndicat patronal des bijoutiers horlogers des Pyrénées-Orientales aux XIX et XXe s.

Précoce et durable depuis le siècle des Lumières, la première des formes de sociabilités est, à Perpignan, celle de la franc-maçonnerie. C’est donc dans ce cadre, réactivé sous le Second empire, que se réunissent en premier lieu certains artisans bijoutiers. Ainsi, Edmond Mourat, orfèvre-bijoutier, Alexis Lacoste, ancien bijoutier, et Edmond Gibert, orfèvre, appartiennent à la loge « l’Union » entre 1853 et 1855. En 1858, le bijoutier Joseph Parès figure parmi les … Continuer la lecture

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Mutualité et syndicat ouvrier du Grenat de Perpignan au début du XXe siècle.

Le temps d’apprentissage est au minimum de trois ans et peut durer jusqu’à sept ans. Dans ces conditions, les liens temporaires établis entre le patronat et la classe ouvrière nombreuse à la fin du XIXe siècle dans les ateliers de bijouterie de Perpignan sont amenés à perdurer. A la suite de ces relations prolongées, les véritables secours collectifs, organisés et durables, vont aller vers la mutualité. En 1900 les bijoutiers et … Continuer la lecture

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