Costumes et bijoux de Provence, regards sur le passé recomposé, photographies de Laurent Fonquernie

La bastidane est l’équivalent de la « pagèsa » roussillonnaise, c’est-à-dire la femme d’un riche propriétaire terrien. Sous l’Empire et la restauration, cette classe sociale aisée porte son gout vers les tissus chamarrés et le corail.

La bastidane est l’équivalent de la « pagèsa » roussillonnaise, c'est-à-dire la femme d’un riche propriétaire terrien. Sous l’Empire et la restauration, cette classe sociale aisée porte son gout vers les tissus chamarrés et le corail.

La bastidane est l’équivalent de la « pagèsa » roussillonnaise, c’est-à-dire la femme d’un riche propriétaire terrien. Sous l’Empire et la restauration, cette classe sociale aisée porte son gout vers les tissus chamarrés et le corail.

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