- Boucles d’oreilles or et corail, XIXe s.
- Francois Henri Mulard (1769 – 1850), portrait de femme, 1810.
- Parure en corail, Italie 19eme s., Musee de Boston.
- Parures en corail XIXe s., vente Fontainebleau avril 2010.
- Portrait de femme vers 1820 avec parures en corail, ebay.fr.
- travail sicilien, boucles d’oreilles XIXe s. vente aux enchères Paris, 13-04-2011.
A la fin du XIXe s., on peut lire que ce genre de bijouterie est soumis aux fluctuations de la mode, mais qu’il jouit pourtant toujours d’une certaine faveur.
“Le corail est susceptible d’un beau poli et se prête bien à la sculpture; on en façonne des colliers, des bracelets, des broches, des pendants, d’oreilles. Ce bijou se distingue par son élégance, sa légèreté, sa solidité dans le collage et la façon de le fixer dans les montures; on l’accompagne de perles fines, d’émaux ou de diamants. Les Italiens, qui ont presque le monopole de la pêche du corail, ont aussi la spécialité de la taille; c’est à Naples surtout et dans les environs que le corail est façonné pour l’usage de la bijouterie; on l’expédie de là sur les grands marchés européens, principalement à Paris et à Londres; en France, il est monté à Paris, à Lyon et à Marseille. Dans les bijoux anglais, le corail est monté solidement, mais sans grâce; en Allemagne les fabricants copient le genre français.”