Exposition “Sous l’Empire du grenat et des crinolines”

du mardi 10 novembre 2015 au dimanche 6 mars 2016

Casa Xanxo, 8 rue de la Main de Fer, du mardi au dimanche de 10h30 à 18h.

Propos de l’exposition :

La mode sous le Second Empire reflète les changements survenus en Roussillon autant dans l’émergence d’une bourgeoisie aisée que dans la modernisation des techniques de fabrication des textiles. Le goût pour le luxe et la nouveauté, l’accélération des échanges avec l’arrivée du chemin de fer, les inventions chimiques qui intensifient les couleurs, sont autant de facteurs qui vont donner naissance à de complexes bijoux en grenats. A travers l’évolution de ses formes, le bijou catalan indique que Perpignan, capitale du Roussillon, s’affirme comme une ville raffinée, avide de modes nouvelles tout en restant attachée à ses origines.

Réunis par l’Institut du Grenat en collaboration avec la Confrérie du Grenat de Perpignan et avec l’aide de préteurs anonymes, une série de documents iconographiques, photos, gravures et gouachés, des bijoux et des accessoires permettent de se réapproprier l’ambiance raffinée et d’entrevoir une part d’intimité jusque là cachée du Perpignan de cette époque.

Le Castillet vers 1870, Perpignan.

Le Castillet vers 1870, Perpignan.

Portrait de femmes avec de jeunes enfants, Perpignan, vers 1860.

Portrait de femmes avec de jeunes enfants, Perpignan, vers 1860.

Irma et Clara Salamo en 1863 6 et 4 ans, photo Pierre Germain à Perpignan

Irma et Clara Salamo en 1863 6 et 4 ans, photo Pierre Germain à Perpignan

Irma Salamo, Cliché Bissière Peprignan

Irma Salamo, Cliché Bissière Peprignan

 

Photo de classe d'une institution privée de jeunes filles, Perpignan.

Photo de classe d’une institution privée de jeunes filles, Perpignan.

Une mère et sa fille, vers 1855-1860, Photo Cabibel Perpignan.

Une mère et sa fille, vers 1855-1860, Photo Cabibel Perpignan.

Jeune homme à la mode, photo Serradell à Perpignan.

Jeune homme à la mode, photo Serradell à Perpignan.

femme assise au bouquet de fleurs. Perpignan ou Prades, vers 1860.

femme assise au bouquet de fleurs. Perpignan ou Prades, vers 1860.

Portrait de Élisa Jacomet en religieuse. Fille d'une puissante famille de Prades, Élisa renonce à la vie mondaine pour épouser la vie religieuse et l'enseignement. Photographie Germain, Perpignan, vers 1855, collection particulière.

Portrait de Élisa Jacomet en religieuse. Fille d’une puissante famille de Prades, Élisa renonce à la vie mondaine pour épouser la vie religieuse et l’enseignement. Photographie Germain, Perpignan, vers 1855, collection particulière.

Portrait de femme. Remarquable par son ampleur mais surtout par la beauté de sa soie moirée, cette tenue imposante possède des manches pagodes portées avec manchettes de gaze noire. Le sautoir indique probablement qu'une montre « de dame » est cachée dans la ceinture. Photographie Germain, Perpignan, vers 1855, collection Institut du Grenat.

Portrait de femme. Remarquable par son ampleur mais surtout par la beauté de sa soie moirée, cette tenue imposante possède des manches pagodes portées avec manchettes de gaze noire. Le sautoir indique probablement qu’une montre « de dame » est cachée dans la ceinture. Photographie Germain, Perpignan, vers 1855, collection Institut du Grenat.

Portrait de jeune homme déguisé en marquis. Le carnaval de Perpignan mettait pendant plusieurs mois la ville de Perpignan en état d’ébullition, entre bals publics et privés, tous destinés à récolter quelques aumônes pour les nécessiteux. Photographie Canavy, Perpignan, vers 1865, collection particulière.

Portrait de jeune homme déguisé en marquis. Le carnaval de Perpignan mettait pendant plusieurs mois la ville de Perpignan en état d’ébullition, entre bals publics et privés, tous destinés à récolter quelques aumônes pour les nécessiteux. Photographie Canavy, Perpignan, vers 1865, collection particulière.

Portrait de François JAUBERT de PASSA et de son épouse. Cet érudit local préside de 1848 à 1853 le Conseil général des Pyrénées-Orientales, et dont il reste élu jusqu’à sa mort. François Jaubert de Passa meurt à Perpignan le 16 septembre 1856 au n°4 de la rue Sainte-Dominique, aujourd’hui rue de la Révolution Française. Photo Franck à Paris et Trantoul à Toulouse, vers 1852, collection Institut du Grenat.

Portrait de François JAUBERT de PASSA et de son épouse. Cet érudit local préside de 1848 à 1853 le Conseil général des Pyrénées-Orientales, et dont il reste élu jusqu’à sa mort. François Jaubert de Passa meurt à Perpignan le 16 septembre 1856 au n°4 de la rue Sainte-Dominique, aujourd’hui rue de la Révolution Française.
Photo Franck à Paris et Trantoul à Toulouse, vers 1852, collection Institut du Grenat.

Portrait de groupe. De grands enfants posent en tenue hivernale d'extérieur, avec pour les filles cape, manteau ou immense châle. Sur le coté, tenant la tenture qui sert de fond, la servante est habillée de manière populaire. Photographie Jacob, Perpignan,vers 1850, collection particulière.

Portrait de groupe. De grands enfants posent en tenue hivernale d’extérieur, avec pour les filles cape, manteau ou immense châle. Sur le coté, tenant la tenture qui sert de fond, la servante est habillée de manière populaire. Photographie Jacob, Perpignan,vers 1850, collection particulière.

Portrait de nourrice. Cette Jeune femme porte la coiffe catalane en usage en Roussillon. Sur ses genoux repose le fils de Justin MASSOT (1828-1880), médecin et conseiller général des Pyrénées-Orientales. Photographie Cabibel, Perpignan, vers 1860, collection particulière.

Portrait de nourrice. Cette Jeune femme porte la coiffe catalane en usage en Roussillon. Sur ses genoux repose le fils de Justin MASSOT (1828-1880), médecin et conseiller général des Pyrénées-Orientales. Photographie Cabibel, Perpignan, vers 1860, collection particulière.

Portrait de jeune femme. C'est une jeune employée de maison portant une robe unie en drap de laine, un tablier et une cravate autour du cou. Sa coiffe est un simple « cofet » de calicot blanc amidonnée. Photographie Bidard frères, Perpignan, ver 1860, collection particulière.

Portrait de jeune femme. C’est une jeune employée de maison portant une robe unie en drap de laine, un tablier et une cravate autour du cou. Sa coiffe est un simple « cofet » de calicot blanc amidonnée. Photographie Bidard frères, Perpignan, ver 1860, collection particulière.

Fileuse roussillonnaise. Esperance POLGE (1836 1907), pose en costume de simplicité, assise sur la chaise basse des fileuses à la quenouille. Elle épouse le peintre Léo POLGE, qui travailla notamment aux décors de plusieurs pièces jouées au Théâtre municipal de Perpignan. Photographie Grando, Prades, vers 1860, collection particulière.

Fileuse roussillonnaise. Esperance POLGE (1836 1907), pose en costume de simplicité, assise sur la chaise basse des fileuses à la quenouille. Elle épouse le peintre Léo POLGE, qui travailla notamment aux décors de plusieurs pièces jouées au Théâtre municipal de Perpignan. Photographie Grando, Prades, vers 1860, collection particulière.

Portrait de jeune femme. Une jeune Catalane portant la coiffe, en robe à crinoline. Elle porte une veste cape qui lui sert de manteau. Photo Bataille, Perpignan, vers1863, collection Institut du Grenat.

Portrait de jeune femme. Une jeune Catalane portant la coiffe, en robe à crinoline. Elle porte une veste cape qui lui sert de manteau. Photo Bataille, Perpignan, vers1863, collection Institut du Grenat.

Portrait double. Il s’agit d’un gendarme en costume d’apparat et de son épouse. La présence militaire est importante dans une ville frontalière ou de nombreuses garnisons occupent les casernes (Saint-Martin, caserne du Puig, Citadelle). Son épouse porte sur les épaules un magnifique châle carré en laine cachemire, probablement fabriqué à Nîmes. La coiffe est parée de riches dentelles et rubans. Le châle est arrêté par une broche ainsi qu’une épingle. La crinoline est ronde. Il faut noter pour ce costume l’absence de tablier d’apparat. Photographie Scanagatti, Perpignan, vers 1865, collection Institut du Grenat.

Portrait double. Il s’agit d’un gendarme en costume d’apparat et de son épouse. La présence militaire est importante dans une ville frontalière ou de nombreuses garnisons occupent les casernes (Saint-Martin, caserne du Puig, Citadelle). Son épouse porte sur les épaules un magnifique châle carré en laine cachemire, probablement fabriqué à Nîmes. La coiffe est parée de riches dentelles et rubans. Le châle est arrêté par une broche ainsi qu’une épingle. La crinoline est ronde. Il faut noter pour ce costume l’absence de tablier d’apparat.
Photographie Scanagatti, Perpignan, vers 1865, collection Institut du Grenat.

Portrait de Catalane. Son « ramellet » (bouquet de fleurs) à la main, cette Catalane porte un riche châle d'été en soie, appelé châle grenadine. Photographe Canavy, Perpignan, vers 1865, collection Institut du Grenat.

Portrait de Catalane. Son « ramellet » (bouquet de fleurs) à la main, cette Catalane porte un riche châle d’été en soie, appelé châle grenadine. Photographe Canavy, Perpignan, vers 1865, collection Institut du Grenat.

Portrait de Catalane. Dans une tenue simple, cette jeune Catalane, probablement enceinte, a gardé son ombrelle à la main. La coiffe de type « cofet », de simple tissu, est ornementée d'un ruban sombre formant une auréole. Elle porte aussi autour du cou un collier de lourdes perles de jais, signes probables du demi deuil. Photographie Cabibel, Perpignan, vers 1870, collection Institut du Grenat.

Portrait de Catalane. Dans une tenue simple, cette jeune Catalane, probablement enceinte, a gardé son ombrelle à la main. La coiffe de type « cofet », de simple tissu, est ornementée d’un ruban sombre formant une auréole. Elle porte aussi autour du cou un collier de lourdes perles de jais, signes probables du demi deuil.
Photographie Cabibel, Perpignan, vers 1870, collection Institut du Grenat.

Portrait double. En tenue toute traditionnelle, ce couple est probablement venu de la campagne à l'occasion d'une fête ou d'une procession. Ils en profitent pour se faire immortaliser chez le photographe. La femme possède toutes les caractéristiques du costume traditionnel roussillonnais, jupe et tablier, corsage et châle, coiffe et par dessus la capuche (caputxa). Photographie Jacob, Perpignan, vers 1855, collection Institut du Grenat.

Portrait double. En tenue toute traditionnelle, ce couple est probablement venu de la campagne à l’occasion d’une fête ou d’une procession. Ils en profitent pour se faire immortaliser chez le photographe. La femme possède toutes les caractéristiques du costume traditionnel roussillonnais, jupe et tablier, corsage et châle, coiffe et par dessus la capuche (caputxa). Photographie Jacob, Perpignan, vers 1855, collection Institut du Grenat.

Portrait de Catalane. La coiffe catalane est portée par la petite bourgeoisie. Certaines femmes sont prêtes à des sacrifices énormes pour avoir des tenues qui soient malgré tout du plus grand chic parisien. Photographie Provost, Perpignan, vers 1868, collection particulière.

Portrait de Catalane. La coiffe catalane est portée par la petite bourgeoisie. Certaines femmes sont prêtes à des sacrifices énormes pour avoir des tenues qui soient malgré tout du plus grand chic parisien. Photographie Provost, Perpignan, vers 1868, collection particulière.

Portrait de berger. Premier témoignage d'un regard porté sur les populations présentant des caractères anciens dits « archaïques » comme ce berger probablement descendu des cimes du Canigou. Photographie anonyme, Roussillon, vers 1870, collection Institut du Grenat.

Portrait de berger. Premier témoignage d’un regard porté sur les populations présentant des caractères anciens dits « archaïques » comme ce berger probablement descendu des cimes du Canigou. Photographie anonyme, Roussillon, vers 1870, collection Institut du Grenat.

Parure en Grenats, Perpignan, vers 1870. Collection Inez Stodel, Amsterdam.

Parure en Grenats, PerpiParure en Grenats, Perpignan, vers 1870. Collection Inez Stodel, Amsterdam.gnan, vers 1870. Collection Inez Stodel, Amsterdam.

Portrait de la Comtesse Charlotte de LAZERME (1822-1888). Son haut rang lui permet de se montrer avec une vaporeuse crinoline. On perçoit à ses poignets d’imposants bracelets en or et pierreries. Son visage est mis en valeur par les boucles d’oreilles et la coiffe à la mode, ornementée de fleurs. Une simple chaîne est suspendue à son cou. Perpignan trouve en Charlotte de LAZERME l’une de ses égéries de mode. Sa fortune en fait une femme du monde, position propice à devenir un modèle d’élégance et de nouveauté pour les femmes du Roussillon. Aquarelle, vers 1860, Perpignan, collection particulière.

Portrait de la Comtesse Charlotte de LAZERME (1822-1888). Son haut rang lui permet de se montrer avec une vaporeuse crinoline. On perçoit à ses poignets d’imposants bracelets en or et pierreries. Son visage est mis en valeur par les boucles d’oreilles et la coiffe à la mode, ornementée de fleurs. Une simple chaîne est suspendue à son cou. Perpignan trouve en Charlotte de LAZERME l’une de ses égéries de mode. Sa fortune en fait une femme du monde, position propice à devenir un modèle d’élégance et de nouveauté pour les femmes du Roussillon. Aquarelle, vers 1860, Perpignan, collection particulière.

Portrait d’Élise MIRALPEIX, née NOGUERES. Ce portrait permet d'admirer en premier lieu les stupéfiantes coiffures de la fin du Second Empire, mode qui va durer jusqu'en 1880. En second lieu, il convient d'admirer les bijoux, fort nombreux, comme sautoir à coulant, boucles d'oreilles à pendeloque, broche, collier à trois rangs de perles ou de pierres fines...Photographie Provost, Perpignan, vers 1870, collection particulière.

Portrait d’Élise MIRALPEIX, née NOGUERES. Ce portrait permet d’admirer en premier lieu les stupéfiantes coiffures de la fin du Second Empire, mode qui va durer jusqu’en 1880. En second lieu, il convient d’admirer les bijoux, fort nombreux, comme sautoir à coulant, boucles d’oreilles à pendeloque, broche, collier à trois rangs de perles ou de pierres fines…Photographie Provost, Perpignan, vers 1870, collection particulière.

Portrait de femme aux bijoux. Photographie Cabibel, Perpignan, vers 1865, collection particulière.

Portrait de femme aux bijoux.
Photographie Cabibel, Perpignan, vers 1865, collection particulière.

Croix surmontée du saint Esprit. Or et grenats, Perpignan, vers 1870, collection Inez Stodel, Amsterdam.

Croix surmontée du saint Esprit.
Or et grenats, Perpignan, vers 1870, collection Inez Stodel, Amsterdam.

Portrait d'Isabelle BOLUIX, née ALZINE. La précision de la photographe permet d'admirer les parures de cette jolie perpignanaise, comme les boucles d'oreilles en or creux appelées « fileuses ». Elle a vécu sa jeunesse au 1 rue des Trois-Journées à Perpignan, là ou se trouvait la librairie familiale, avant de se marier avec le notaire Henri Boluix. Cliché anonyme, Perpignan, vers 1870, collection particulière.

Portrait d’Isabelle BOLUIX, née ALZINE. La précision de la photographe permet d’admirer les parures de cette jolie perpignanaise, comme les boucles d’oreilles en or creux appelées « fileuses ». Elle a vécu sa jeunesse au 1 rue des Trois-Journées à Perpignan, là ou se trouvait la librairie familiale, avant de se marier avec le notaire Henri Boluix. Cliché anonyme, Perpignan, vers 1870, collection particulière.

Boucles d'oreilles. Grenats et or, Perpignan, vers 1870, collection particulière.

Boucles d’oreilles.
Grenats et or, Perpignan, vers 1870, collection particulière.

Portrait d'Isabelle BOLUIX, née ALZINE. Isabelle fut baignée durant sa jeunesse dans le milieu légitimiste et carliste, son père, imprimeur du roi, ayant été l’un des principaux correspondants et financiers du parti de Don Carlos durant la première guerre carliste (1833-1839). Photographie Scanagatti, Perpignan, vers 1870, collection particulière.

Portrait d’Isabelle BOLUIX, née ALZINE. Isabelle fut baignée durant sa jeunesse dans le milieu légitimiste et carliste, son père, imprimeur du roi, ayant été l’un des principaux correspondants et financiers du parti de Don Carlos durant la première guerre carliste (1833-1839). Photographie Scanagatti, Perpignan, vers 1870, collection particulière.

Croix badine.  Or et grenats, Perpignan, vers 1865, collection particulière.

Croix badine.
Or et grenats, Perpignan, vers 1865, collection particulière.

Portrait de madame Prosper AURIOL. En 1866 la Banque Auriol voit le jour suite au décès d’Auguste Lloubes qui en était l'associé (banque Lloubes et Auriol) au coin de la place Gambetta et de la rue Fontfroide. Prosper meurt en 1870, à 49 ans, laissant deux fils trop jeunes pour prendre sa suite dans les affaires. Son épouse, Delphine décide de poursuivre l’activité pour assurer un avenir à ses enfants. Cliché anonyme, Perpignan, vers 1870, collection particulière.

Portrait de madame Prosper AURIOL. En 1866 la Banque Auriol voit le jour suite au décès d’Auguste Lloubes qui en était l’associé (banque Lloubes et Auriol) au coin de la place Gambetta et de la rue Fontfroide. Prosper meurt en 1870, à 49 ans, laissant deux fils trop jeunes pour prendre sa suite dans les affaires. Son épouse, Delphine décide de poursuivre l’activité pour assurer un avenir à ses enfants. Cliché anonyme, Perpignan, vers 1870, collection particulière.

Parure composite. Remontage à base de divers bijoux d'époque Napoléon III.  Or et grenats, Perpignan, vers 1870, collection particulière.

Parure composite. Remontage à base de divers bijoux d’époque Napoléon III.
Or et grenats, Perpignan, vers 1870, collection particulière.

Portrait de Justin DURAND et de son épouse. Le député des Pyrénées-Orientales avait épousé une élégante perpignanaise de haute noblesse catalane, Antoinette de Çagarriga, dont la personnalité en fit pour ses contemporains une femme remarquable. Elle eut une vie sociale particulièrement brillante, tant à Perpignan qu’à Paris. Photographie Ken à Paris, vers 1860, collection Institut du Grenat.

Portrait de Justin DURAND et de son épouse. Le député des Pyrénées-Orientales avait épousé une élégante perpignanaise de haute noblesse catalane, Antoinette de Çagarriga, dont la personnalité en fit pour ses contemporains une femme remarquable. Elle eut une vie sociale particulièrement brillante, tant à Perpignan qu’à Paris. Photographie Ken à Paris, vers 1860, collection Institut du Grenat.

Bracelet. Or et grenats, Perpignan, vers 1865, collection particulière.

Bracelet.
Or et grenats, Perpignan, vers 1865, collection particulière.

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