



Aux XVII et XVIIIe siècles le bijou de parure n’est pas la seule production des orfèvres bijoutiers roussillonnais. Une grande partie du travail consistait à réaliser des bijoux de « vêture », ceux qui ont une utilité dans l’ajustement du costume. Hommes et femmes avaient besoin d’un certain nombre de ces productions. Le Roussillonnais aisé porte l’habit à la française qui s’est généralisé à la fin du XVIIe siècle. Ce vêtement demande … Continuer la lecture