Archives quotidiennes : 14 novembre 2010

Couronne de Vierge, Elne, XIXe siècle.

il s’agit d’une tres interessante couronne en argent doré avec des cabochons de verroterie sur paillon. La remise en place d’un vestiaire adapté à la Vierge mannequin de Pâques a donné l’occasion de remettre en l’état cette oeuvre d’orfèvrerie religieuse roussillonnaise de bonne facture.

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Paul Hameau, bijoutier à Perpignan

Le bijoutier paul Hameau tenait à Perpignan dans les années 1920 1930 une bijouterie au nom évocateur: A LA BAGUE D’OR, spécialité de bijoux pour mariages.

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Portrait de Mme Elisabeth Campagnac

Née à Perpignan en 1754, Mme Campagnac portait la coiffe et les bijoux à la mode en Rousillon entre 1790 et 1800. On notera la croix badine en argent avec ses chaines en or, les bagues à pierreries, les boucles d’oreilles en or creux ainsi que l’épingle qui mantient le fichu croisé.

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Les couronnes d’orfèvrerie-bijouterie dans le diocèse de Perpignan-Elne (XVII-XXe s.)

« On peut voir au magasin de la maison Velzy, rue de l’Argenterie, les deux couronnes d’or offertes par le diocèse à la Vierge de Font-Romeu. C’est une merveille d’élégance et de bon goût qui fait le plus grand honneur à l’orfèvre bien connu de notre ville. Nous lui offrons nos sincères félicitations. (in La Semaine Religieuse du diocèse de Perpignan, p.346, samedi 24 juillet 1926.» La tradition de bijouterie en Roussillon … Continuer la lecture

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La remobilisation des bijoutiers en 1990: L’association Le Grenat de Perpignan

Les années quatre-vingts sont en France au début d’un processus de sensibilisation au patrimoine et à l’identité, et le Roussillon suit cette évolution des mentalités. Une partie du syndicat des bijoutiers se démarque par la spécificité de son travail issu de la tradition locale. En créant l’association « le grenat de Perpignan » en 1990-1991, et en faisant de ce savoir faire artisanal une marque déposée, les bijoutiers traditionnels ont alors entamé … Continuer la lecture

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Un artisanat en péril (1950-1980)

Le travail des artisans bijoutiers roussillonnais connaît aujourd’hui une véritable résurrection.  En 1926, un bijoutier témoigne au contraire : “…qu’il est pénible pour tous de constater que notre bijou traditionnel, tel le costume et la coiffe catalane, est en train de perdre de sa vogue et de sa mode. Les causes en sont faciles à rechercher, l’évolution de la mode, l’esprit régionaliste qui s’atténue, le besoin de paraître davantage et enfin … Continuer la lecture

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Joseph Mourat, orfèvre bijoutier de Perpignan

Au milieu du XIX° siècle, nous avons une description très précise de l’atelier du bijoutier Joseph Mourat, 20 rue de l’Argenterie, le 1er mai 1858 : un établi à 7 places, plus une place séparée, un laminoir, un soufflet de forge, une pendule, une paire de balances, huit ciseaux, trois pinces rondes, 12 pinces plates, 5 précelles, une pince à couper, 4 pinces à coulant, un étui à main, une boite … Continuer la lecture

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L’atelier catalan au XVIIIe s.

Au XVIII° siècle l’atelier n’est pas séparé de la boutique et la production s’expose dans de petites vitrines comme cette montre (vitrine) avec sa vitre pour tenir les joyaux d’orfèvrerie (ADPO, 10Bp355, n°151). Chez Gouzy, en 1710, le notaire parle d’une “cage à mettre à la fenêtre de la boutique.”. L’atelier est obligatoirement ouvert sur la rue par une porte ou bien une fenêtre comme le stipulent les statuts du corps de … Continuer la lecture

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Intérieur de l’atelier d’Antoine Gouzy à Perpignan en 1710

Un acte notarié conservé aux Archives Départementales des Pyrénées-Orientales permet de voir très précisément un atelier d’orfèvre bijoutier sous l’Ancien Régime. Nous sommes chez l’orfèvre Antoine Gouzy le 23 janvier 1710, place dels Corts à Perpignan.  Dans la boutique de la dite maison :  2 tabourets de paille usés, 2 troncs ou tours pour tenir les enclumes, l’une grande l’autre médiocre, Item une enclume et un tast, 18 marteaux entre grands, … Continuer la lecture

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La tradition du filigrane

Le bijou en filigranne or ou argent est constitué de fil tiré, assemblé de manière à former des jours. L’artisan compose son ouvrage une fois son dessin tracé, il soude ensuite délicatement les parties sans former des masses de soudures qui alourdiraient l’ouvrage. Le terme de filigrane vient de l’italien et signifie composé de fils et de grains. Cette technique était très appréciée sous Louis XIV et servait aussi à fabriquer des objets … Continuer la lecture

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