Les lavandières
Les lavandières de la « Basse »,
A genoux devant le soleil,
Qui resplendit, disque vermeil,
Immobile dans l’eau qui passe,
.
Les lavandières en cheveux,
En fichus noirs ou coiffes blanches,
Vers le linge gonflé se penchent,
Ou, d’un geste sec et nerveux,
.
Abattent leur battoir qui claque,
Sur la pierre humide où se plaque
Le linge mou des caleçons.
.
Gaîment glougloute la rivière,
Et, dans l’eau pleine de frissons,
Le soleil rit aux lavandières…
Maurice Deblay.
Bon jour,
j’ai trouvé beau ce poème.
Pourrais-je avoir l’autorisation de le publier dans la revue de mon association “la Forêt des Mille Poètes” dont le tirage est de 120 exemplaires tous les semestres.
Bien sûr je donnerais le nom de l’auteur, Maurice Deblay.
Veuillez me faire parvenir cette autorisation, à l’adresse e-mail : maillotm@wanadoo.fr
oui bien sur ce poème est à diffuser en citant la source.
Cordialement