Deux cartes postales éditées au début du XXe siècle à l’occasion de la création de vitraux racontant l’histoire de ce miracle qui a eu lieu durant la Révolution française. On y retrouve les Catalanes avec leur coiffe typique et leurs châles croisés, présentées comme de bonnes chrétiennes puisque l’une d’elles cachera les dernières hosties consacrées en 1793 dans un sucrier en verre, enfermé dans un placard mural de sa maison. Ce sucrier s’est miraculeusement teinté d’or.