



Sous l’Ancien régime, la valorisation des richesses naturelles passe par les ordres du pouvoir central. Ainsi le militaire Julien Puig i Costa écrit en 1728 au Duc de Bourbon, « grand maître au royaume de France des mines, minerais et substances terrestres » afin d’être autorisé de mener à bien ses recherches et ainsi «renouveler l’entière connoissance que j’avez des montagnes du Vallespir, Conflent et Capcir de la province et dépendance du … Continuer la lecture
Couple de personnes âgées, dessin anonyme conservé par le Musée des B.A. de Marseille. Les costumes de ces deux personnages sont proches de ceux réalisés par Jacques Gamelin et que possède le musée des B.A. de Narbonne.
Musée Hyacinthe RIGAUD de Perpignan, achat en 2001. S.D. au dos : AntonioGuerra Perpignan pinxit, 1698. H. 0,114; L 0,865.
Communication de Nicolas L’HENAFF et extrait de son mémoire de master 1 (UPVD). Les problèmes militaires ne sont pas comme l’on pourrait l’imaginer essentiellement tournés vers les champs de bataille, mais se retrouvent aussi en grande partie à l’Arrière. Ville de garnison, Collioure accueille une population où civils côtoient militaires quotidiennement, et malgré un certain cloisonnement urbanistique causé par le réaménagement des fortifications et l’ajout de casernes, la population militaire … Continuer la lecture
Le Temps du Costume Roussillonnais était présent durant les trois jours d’escale de l’Hermione à Port-Vendres. Le stand de démonstration des savoir-faire a été très apprécié ainsi que les déambulations dans la ville et sur les quais.
Portrait en miniature de Marie-Anne BIMAR, née TEULON, fille de Jean TEULON et de Suzanne TOUZELIER. Elle était née à Clapiers (34) en 1759 et morte à Montpellier en 1847. Nous voyons ici la mode des coiffes superposées, la première formant un bat’en l’œil, agrémentée d’un ruban bleu assorti à la tenue, et une seconde plus imposante, posée par dessus, et dont les longues barbes sont entrecroisées sous le menton … Continuer la lecture
En 1665 les Augustins Déchaussés, que l’on appelait à Perpignan les Petits Pères, s’installèrent rue de la Barre (actuel bar Tio Pepe). Ils agrandirent leur couvent jusqu’à pouvoir déboucher sur la rue de la Cloche d’Or (école Lavoisier). On possède le plan de ce couvent dressé par l’architecte Margouet en 1791, en vue de la destruction de son église par la création d’une rue (parties roses). Cette rue n’a toutefois jamais été réalisée. … Continuer la lecture
Plan de l’église dite “du Temple” qui donnait sur la rue Mailly comme le montre le plan dressé par Margouet en 1792. Le cœur de l’église dédié à la Vierge jouxtait l’impasse de la Division. Masquée par les réorganisations des XIX et XXe s., cette église existe-t-elle encore? Sources : AD66, document trouvé par M. Sylvain Chevauché.
Le Journal des Pyrénées-Orientales insère en janvier 1817 les ordres du Préfet obligeant les autorités municipales de faire célébrer les offices religieux commémorant l’exécution du roi Louis XVI. A Perpignan les cérémonies ont été décrites dans le journal :
La Cour, ayant été avertie que tout était prêt pour l’enterrement de feu monsieur le Président de Sagarre, est partie du Palais (du Conseil Souverain) pour s’en aller en la maison du défunt en cette forme : Au-devant de la Cour marchaient les officiers de la maréchaussée avec quatre gardes, ensuite les deux petits huissiers avec leurs robes et bonnets violets ayant leur baguette à la main, ensuite le premier huissier … Continuer la lecture