



Monogrammiste A.C., actif au 16e s., Allemagne, Munich, Bayerische Staatsgemäldesammlungen, Alte Pinakothek.
Marie, Christine, Jeanne, Josèphe, Antoinette (Maria Christina Johanna Josepha Antonia) de Habsbourg-Lorraine, archiduchesse d’Autriche, duchesse de Saxe, gouvernante des Pays-Bas, (née à Vienne le 13 mai 1742, morte le 24 juin 1798). Marie-Christine est la cinquième enfant de l’empereur François Ier de Lorraine et de l’impératrice d’Autriche Marie-Thérèse.
François Beaucourt, Portrait d’une femme haïtienne, 1786, huile sur toile, 69,1 x 55,6 cm, Musée McCord.
Photo Sotheby’s. Coral, monté sur or émaillé ; 7cm., 2¾in. Estimé 6,000 — 8,000 GBP Note: Ce pendentif est typique des fines sculptures de corail réalisées à Trapani en Sicile pour réaliser de petits objets dévotionnels, aux 17 et 18e siècles. Ce pendentif se distingue par son décors en or émaillé dit “à flammes”. Sotheby’s. Old Master Sculpture and Works of Art, London | 10 Jul 2014 – http://www.sothebys.com/
Ensemble comprenant une paire de boucles d’oreilles, une croix surmontée d’un nœud, début du XVIIIe s. En or et diamants taille rose, 1,42 cts. Pendants: 3,8 cm. La broche a été restaurée. Pièces identiques au Victoria & Albert muséum inv. nº M.83-1913. poids: 25,1 gr www.balclis.com
Broche de devant de corsage, de la seconde moitié du XVIIIe s. En or 9K, diamants taille rose y rosa couronnée, 4,89 cts y verroteries rouges et vertes. Poids: 49,80 gr. www.balclis.com
Pendentif en forme de centaure, vers 1600 en or, émaux, quartz taillé en table et perles. Une pièce similaire est conservé à la Hispanic Society of America, inv. nº R3500. Le Livre de Pasantías conservé à l’Archivo Histórico de la ciudad de Barcelona contient des dessins de pendentifs similaires à la même époque. H.: 8 cm. p. : 22,6 gr.
Croix : Probablement italienne, fin du XVIII, début du XIXe s. Or 14K, grenats ou améthystes 2,40 cts, perles. 4,8 gr. Une pièce similaire au Victoria & Albert Museum, inv. nº 403-1868. http://www.balclis.com
Il s’agit de la seconde épouse du peintre, qu’il épouse en 1760. Elle est représentée avec un vrai désir d’ennoblissement, avec une robe élaborée, des fleurs dans la coiffe spectaculaire à la mode et avec de somptueux joyaux. Il s’agirait d’un portrait de mariage à cause des deux pigeons et deux cœurs associés qui décorent le médaillon suspendu au cou de la dame.