



Origines de la Villa saint valentin d’Amélie les Bains, transformée en maison de santé pour les prêtres catholiques malades. Achille, comte Baraguey d’Hilliers est un maréchal de France, né le 6 septembre 1795 à Paris et mort le 6 juin 1878 à Amélie-les-Bains. Source : Semaine religieuse du Diocèse de Lyon 1903.
Récit de la guérison d’une chanoinesse du couvent perpignanais du saint Sauveur. Cet établissement était fréquenté par les femmes de noble extraction du Roussillon. L’abbé SANS mène à l’université de Perpignan des expériences sur l’électricité et ses vertues dans la médecine. Il teste ce fait sur la religieuse madame d’ESPRER avec succès en 1764. Source : SASL des PO, 1843.
Photo Mas, Perpignan, vers 1905. Portrait de Marguerite Jeanne Henriette Thérèse BARTISSOL née en 1866 et mariée le 31 mai 1894 à Perpignan, avec Louis NOELL (1865- ), fils de François Louis Xavier NOELL et de Thérèsine Josèphine Léocadie DE GIRVES. Elle était la fille de Jean Vincent BARTISSOL, né le 22 janvier 1830 à Portel-des-Corbières, dans l’Aude, , décédé le 18 novembre 1894 à Perpignan à l’âge de 64 ans, marié le 30 septembre 1862, à Perpignan, avec Thérèse Catherine Rose BERGA, (1839, 1917). Elle était par ailleurs la nièce d’Edmond … Continuer la lecture
Journal des PO, 1859. La chapelle du paradis située sur le territoire de Corneilla del Vercol a été restaurée en 1859 et bénie par le chanoine Pujade. Un peu plus tard, la statue de la Vierge reçut une couronne réalisée selon les instructions de Madame Jonqueres-Bonnet lors de son entrée au couvent des trappistines d’Espira de l’Agly, avec les bijoux provenant de ses parents : « Don offert à Notre Dame du … Continuer la lecture
Article paru dans le Journal des PO en 1859. Organisation d’un bal de charité chez les Durand dans leur hôtel particulier place Jean Jaurès à Perpignan. Justin Durand a été député des PO.
Les armes de cette famille perpignanaise : Sinople à un lion d’argent et un chef cousu d’azur chargé de deux étoiles aussi d’argent. Le dit écu timbré d’un casque de profil, orné de ses lambrequins d’azur d’argent et de sinople.”
Le Comte de Saillans, ancien lieutenant-colonel aux Chasseurs du Roussillon, dut émigrer après l’échec du complot de Perpignan dont il avait été l’âme. À Perpignan, au mois de décembre 1791,les militaires royalistes s’étaient préparés à ouvrir la frontière aux armées espagnoles.
Chronique parue dans le Journal des PO du 17 février 1865 du bal donné par madame Justin Durand dans ses salons situés au 1er étage de l’Hôtel particulier de l’actuelle place Jean Jaurès à Perpignan, près de la Loge.
Cuiller à saupoudrer en argent uniplat, gravée d’armoiries comtales. Maître-orfèvre: I. VIOLET. Perpignan, vers 1751, lettre date Y, et poinçon de Jurande, lettre Q, vers 1725- 1760 (petits accidents). Poids: 105 g. L.: 24 cm.
Madame Justin Durand à la lecture en robe à crinoline, photographiée en studio par A.Ken à Paris. Antoinette Durand était une femme à la mode. On pouvait lire cette ravissante attention dans le Journal des PO de 1859: