



Autour de 1840, on a en Languedoc des termes différents pour désigner les grisettes : “Les femmes que les parisiens appellent grisettes sont désignée en Languedoc sous le nom de modistes ou demoiselles. On nomme grisettes les ouvrières qui portent le costume national, et n’ont point de chapeaux (c a d qu’elles ont une coiffe). On dit d’une dame ainsi vêtue: elle est en grisette.” Si l’on s’en réfère à Louis … Continuer la lecture
«De larges rues, des places pleines de soleil, des boutiques luxueuses, des groupes de marbre, des bassins moussus, des amours bouffis, de vastes escaliers de pierres, des promenades aux lignes versaillesques, donnent à Montpellier l’aspect d’une capitale. Le peuple y professe un goût royal pour la bâtisse, et honore le métier de tailleur de pierre. A Paris même, un tailleur de pierre obtient immédiatement les suffrages de ses collègues, s’il … Continuer la lecture
Louis Hercule d’Auderic fut ensuite préfet du Var de 1828 à 1830. Photographie de F.Rouet à Montpellier d’après un fusain.
Entre 1820 et 1878, le baron Isidore Taylor, assisté de Charles Nodier et Alphonse de Cailleux, réalise les vingt volumes des Voyages pittoresques et romantiques dans l’ancienne France. Les lithographies réunies dans chaque volume représentent aussi bien des monuments civils, militaires et religieux que des paysages ou des scènes de la vie quotidienne de la France de l’époque. Ce travail monumental est un témoignage précieux de la situation du patrimoine bâti en France dans la première moitié du XIXe siècle. Il a … Continuer la lecture
L’épouse du marin, tableau attribué à Jean-Augustin Franquelin (français, Paris 1798-1839 Paris) Huile sur toile Dimensions: 15 3/8 x 18 1/2 po (39 x 47 cm) Collection Whitney, don de M. et Mme Charles S. McVeigh, par échange 2003. Numéro d’accession: 2003.42.31 Métropolitan Museum of Art, New-York, USA.
Peu après arrivait la nouvelle que Louis XVIII était proclamé roi de France, que l’état de siège était levé, que le duc d’Angoulême se rendait à Narbonne sur l’invitation du maréchal Suchet ; ce fût un cri général de « Vive le Roi ! ». Dès le 25 avril 1814 M. Jaubert de Passa lança une circulaire aux Maires de l’arrondissement pour leur annoncer l’heureuse nouvelle. » Dès lors, raconte M. Jaubert de … Continuer la lecture
L’on arriva ainsi aux premiers jours d’avril 1814, sans trouble à l’intérieur, sans apparition de troupes espagnoles à la frontière. Chacun attendait la fin du drame qui se jouait à Fontainebleau et l’immense majorité de nos compatriotes, les uns par attachement à leur roi, les autres en haine de la tyrannie dont ils pâtissaient, tous avec le désir de la paix et de la liberté escomptaient l’arrivée du courrier qui … Continuer la lecture