



Huile sur toile, peint par Petit à Versailles en août 1789. Michel de Coma-Serra, né à Perpignan (Roussillon, France) le 6 janvier 1735 et mort le 1er juillet 1813, est un homme de loi et homme politique français. Le 29 avril 1789, Coma-Serra est élu, au premier tour de scrutin, député de la noblesse aux États généraux de 1789 par la province de Roussillon. Il siège à droite et montre peu de goût pour les idées nouvelles. De concert avec son collègue, l’autre député … Continuer la lecture
Le matelassage des habits est une pratique très ancienne. Il s’agit d’un travail d’aiguilles visant à intercaler une toile de coton, une couche de ouate et une seconde toile de coton, les deux toiles formant bien souvent un endroit et un envers. Ce travail fut porté à l’extrême de son art en Provence aux XVII et XVIIIe s. ou l’on qualifie ces productions de piqures de Marseille. Connues en Roussillon, … Continuer la lecture
Portrait du procureur du Roi, puis procureur au Tribunal criminel du département, Estève Bosca. Sa fille Victoire, épousa en 1796 le bijoutier Armant Félix VELZY(1772-…..).
Signée CHAUVET à Perpignan, une montre de poche à clé en or jaune, cadran or, chiffres romains émaillés, entourage frise de fleurs – boitier guilloché – mouvement avec coq – verre manquant – diamètre: 4 cm – Poids brut: 41g30. Vente du samedi 6 Octobre 2012 à l’Hôtel des Ventes- Ivoire de Nîmes. vendue 450 €
Des oeuvres encore inédites de l’artiste Jacques Gamelin (1738-1802) permettront lors qu’elles seront découvertes de mieux connaître la façon dont les Roussillonnais s’habillaient à la fin du XVIIIe s. Ainsi L’historien Julien Yché évoque en 1900, dans un intéressant article, l’existence de “grandes toiles représentant le Port-Vendres édifié par le Maréchal de Mailly sur la côte catalane”. Gageons que ces documents un jour resurgiront. Ils deviendront dès lors une source inédite et capitale sur … Continuer la lecture
Le peintre Pierre Maurin (né à Narbonne et mort à Perpignan en 1816) était actif dans cette dernière ville dès la fin de l’Ancien Régime. Il laisse ici une image intéressante de l’épouse de Paul Estève, portant une coiffe de tulle brodé à large passe, ornée d’un ruban ivoire et d’une rose. Cette oeuvre est à rapprocher du portrait d’Elisabeth Campagnac peint peu d’années auparavant.