



le carnaval a été cette année favorisé par température exceptionnelle, aussi les fêtes ont été brillantes et les bals très fréquentés. Les Loges de la parfaite Union et de Saint Jean des Arts ont ouvert et clôturé la série de réunions dansantes. Comme toujours, MM. les membres de ces Loges ont été de la plus exquise urbanité envers les nombreux invités qu’attire chez eux un accueil des plus sympathiques. Le bal du jeudi … Continuer la lecture
« Enfin c’est là que tous les dimanches s’exécutent la danse des baills, ces danses particulières aux habitants du Roussillon, si piquantes et si originales. Ils l’aiment avec passion, et ils s’y livrent avec passion. Elle est vraiment nationale pour eux. Les hommes ouvrent ordinairement lo ball la contredanse, par un contrapas dont le rythme syncopé, accuse une origine grecque pour les uns, arabe pour les autres. Tantôt séparés, tantôt tenus par la main, ils … Continuer la lecture
Albert Saisset (Perpinyà, 10 de novembre de 1842-14 d’agost de 1894) va ser un dels personatges més pintorescos de la societat nord-catalana del segle XIX. Fou un autor prolífic de poesies (al començament en francès però després i majoritàriament en català) que va publicar sota el pseudònim de “Oun tal” (“Un tal” en la seua grafia afrancesada). Albert Saisset, que provenia d’una família rossellonesa benestant, va estudiar primer a Perpinyà abans d’anar al lycée a Montpeller. Es va presentar a l’escola militar … Continuer la lecture
Tiré de l’album de Photographies du docteur Charles Etienne Gustave Donnezan. Nous retrouvons de jeunes collègues de sa formation sur Strasbourg, mais aussi des clichés parisiens, perpignanais et constantinois. Nous n’avons relevé malheureusement aucun nom de famille. Album gracieusement ouvert par M. et Mme Donnezan à Perpignan.
Album de Photographies du docteur Charles Etienne Gustave Donnezan, médecin à l’hôpital militaire de Perpignan. Paul-Marie Donnezan fut médecin aide major au 20ème d’artillerie à cheval à Constantine.
Edouard de Lacroix fait partie d’une famille importante de la noblesse roussillonnaise. Il vivait à la rue Saint Sauveur à Perpignan. Il sera candidat aux élections cantonales de 1870 en replacement de M. Amouroux.