



Fils de Jacques Massot, médecin, et de la demoiselle Reynier, Joseph Massot-Reynier naquit à Perpignan, le 20 décembre 1804. Il épousa la demoiselle Delaya. Le gouvernement désigna, en 1849, Joseph Massot-Reynier pour diriger le parquet du tribunal de Lyon. L’anarchie régnait alors dans cette ville. Il contribua puissamment au rétablissement de l’ordre à Lyon ainsi qu’à Grenoble, où il fut nommé Procureur-général, en 1851. Massot-Reynier fut appelé au … Continuer la lecture
Portrait d’une femme âgée de la bourgeoisie perpignanaise. Elle porte une capote ornée de dentelles noires, ainsi qu’un grand châle carré de laine, à franges. Il est possible qu’il s’agisse de l’une des filles de Bathasar Bosca (1777-1841) et de Françoise Esteve, Espérance, Marie ou Elisabeth.
Lucie Guiter, seur d’Emile est la fille du préfet Eugène Guiter (1822-1872). Elle a pour grand père Théodore Guiter et grand mère Pauline Massot, la seur de Paul Massot. Elle épousera Félix Soupat (1847-1908), consul de France.
Julie Joséphine CALMETES a épousé le 6 janvier 1823 à Perpignan le Colonel Amédée DE LAMER. Celui-ci était né le 10 octobre 1798 à Arles-sur-Tech, décédé le 30 juillet 1866 à Arles-sur-Tech.
Le bal traditionnel du jeudi-Gras, interrompu, nous ne savons pourquoi l’année dernière, aura bien lieu le 11 février prochain au Théâtre. Les cartes d’invitations vont être envoyées, et, très incessamment, nous indiquerons l’époque à laquelle les réclamations pourront être adressées à la commission, ainsi que le siège de cette commission. Voilà une bonne nouvelle pour les marchands, qui auront à fournir les étoffes des costumes, pour les ouvriers, qui les confectionneront, pour … Continuer la lecture
Isabelle Boluix (1845-1880) porte probablement ici une parure en Grenat de Perpignan, boucles d’oreilles à pendeloques et croix surmontée d’un Saint-Esprit.
Léonie était la dernière fille du docteur Paul Massot, née à Perpignan le 18 septembre 1835. Elle se maria dans cette même ville avec Jules de Lamer (1828-1906). Celui-ci fut préfet. Nous voyons sur cette photographie prise vers 1870 un nombre important de bijoux roussillonnais, boucles d’oreilles fileuses, broche à camée, peigne en forme de couronne, sautoir ou châtelaine.
Si la promenade de Mailloles n’avait cette année plus rien d’original, cette année, plus rien de pittoresque, les balcons de la ville étaient en revanche, envahis dès une heure par une armée de jolis et frais visages ; de blanches mains préparaient des projectiles moins meurtriers que certaines œillades, et peu de temps après, le combat s’engageait sur toute la ligne pour ne finir qu’à six heures du soir. Pendant ce … Continuer la lecture