Portrait de femme de la région toulousaine, en coiffe cannelée, bijoux et châle carré de teinte sombre. Outre les boucles d’oreilles de type poissardes en or et coque de nacre très imposantes dont le musée possède un exemplaire (voir plus bas), cette femme riche porte une intéressante croix empierrée surmontée probablement de son coulant de forme ronde (proche de l’exemplaire montré plus bas). Nous pouvons voir aussi un sautoir et son imposant arrêtoir, … Continuer la lecture
Cette paire de boucles d’oreilles est à rapprocher de l’étude du peintre Guillaume Bodinier conservée au Musée des Beaux Arts d’Anger.
Ce portrait anonyme de femme de la bourgeoisie montalbanaise permet de percevoir la façon de se vêtir dans le Sud de la France à l’extrême fin du XVIIIe s. et dans les premières années du XIXème. Le bijou imposant semble être une croix empierrée en argent avec un coulant, porté sur cordon de velours noir. La robe noire à taille déjà haute et manches longues, est agrémentée d’un châle carré … Continuer la lecture
Anneau pastoral constitué d’une plaque quadrilobée décorée de filigranes représentant des arabesques ornées de fleurs et de feuillages, montée sur un anneau d’or massif guilloché. Le centre est occupé par une topaze sertie dans un chaton. Huit petits chatons répartis sur les 4 lobes contiennent un grenat alternant un saphir. Evreux, musée de l’Ancien Evêché.
Bijou trouvé lors d’une fouille en 1962 dans un tombeau du choeur de l’abbaye Saint-Pierre avec 2 boucles en cuivre et un anneau pastoral. protection MH 1962/07/23 : classé au titre objet
Atelier Thiery, femme assise, daguerréotype, quart de plaque, v. 1855, coll. Bibliothèque nationale. L’apparition du portrait photographique permet de matérialiser, de manière différente du portrait peint, l’usage du bijou dans la mise des femmes du milieu du XIXe s. Le daguerréotype est un procédé photographique permettant de fixer l’image d’une chambre noire par des moyens chimiques sur une plaque argentée, mis au point en 1839 par Louis-Jacques-Mandé Daguerre … Continuer la lecture
En 1900 les ouvriers bijoutiers et horlogers de la ville de Perpignan décident de créer une Société de Secours Mutuel nommée « l’Alliance » afin de fournir les soins et les médicaments nécessaires à ses membres, de leur payer une indemnité maladie et enfin de pourvoir à leurs funérailles. On y retrouve les noms d’ouvriers et artisans indépendants comme Pierre Barrau. Cette mutuelle fusionnera par la suite avec l’union Mutualiste « la … Continuer la lecture
Conférence sur l’évolution du bijou en Grenat de Perpignan, du XVIIIe à nos jours.
Pour sa Daphné, conservée au Musée d’Ecouen, Jamnitzer poussa à l’extrême l’interprétation plastique du vase à boire anthropomorphe qui était fréquente au sein de l’orfèvrerie germanique, mais dont l’usage, ici, est sans objet. Quelle était en effet la véritable fonction de la Daphné ? Longtemps la présence du corail, auquel les contemporains de Jamnitzer prêtaient des vertus prophylactiques, a porté à interpréter la statuette comme un « languier », l’un de ces … Continuer la lecture
L'Institut du Grenat est une association sous le patronage de l'Union européenne
(LEO04 Leonardo partnerships)
La région Occitanie aide l'Institut du Grenat dans le cadre de l'Inventaire patrimonial.
Convention-cadre de partenariat pour l'exposition "Art et histoire d'un bijou catalan" au palais des rois de Majorque.
Convention quadripartite pour la Saint Eloi 2023-2025.
Rejoindre l'Institut du Grenat, c'est rejoindre une association culturelle dynamique qui œuvre à la protection et au rayonnement du savoir-faire des bijoutiers traditionnels catalans en Grenat taille Perpignan.
