



. Un élément de parure tout à fait spécifique de l’Empire est le peigne diadème. Il est en argent ajusté d’un petit diadème constitué de fines perles de métal ou bien de strass sertis sur le motif constitué de palmettes de bronze doré. Ce genre de peignes n’est en rien une spécificité régionale mais il révèle que le Roussillon s’est toujours adapté aux modes de la capitale. Nous retrouvons des peignes … Continuer la lecture
Sous la Révolution et l’Empire le collier d’esclavage se généralise sans toutefois s’affirmer comme un véritable bijou local. Ce type de collier est constitué d’une à trois plaques estampées ornées d’une ou plusieurs pierres serties, reliées à l’aide de plusieurs chaînettes. La perpignanaise Jeanne Vidal Rivière possédait un tel collier constitué de chaînes d’or et d’une seule plaque lors de son inventaire après décès le 10 frimaire an IV (ADPO, … Continuer la lecture
Primo cinq paires et demi boucles, quatre jouets, boutons de manche, un estui, trois médailles, une garniture de tabatière le tout d’argent commun. Quatre croix d’or garnies de pierres blanches de vic à une desquelles celle du milieu est violette. Item deux croix d’argent garnies de pierres blanches Item deux pendants d’oreilles d’or, les panjolles garnies de pierres violettes avec trois petits pendants garnis de perles chacun. Item treize bagues … Continuer la lecture
Aux XVII et XVIIIe siècles le bijou de parure n’est pas la seule production des orfèvres bijoutiers roussillonnais. Une grande partie du travail consistait à réaliser des bijoux de « vêture », ceux qui ont une utilité dans l’ajustement du costume. Hommes et femmes avaient besoin d’un certain nombre de ces productions. Le Roussillonnais aisé porte l’habit à la française qui s’est généralisé à la fin du XVIIe siècle. Ce vêtement demande … Continuer la lecture
La dénomination catalane d’arracades pour désigner les boucles d’oreilles est très rare, la plupart des actes notariés étant dès la fin du XVIIème siècle rédigés en français. L’inventaire du bourgeois Jaubert signale deux « arrecades per les orelles de fil i grana de or i perlas fetas a modo de campanetas». Nous trouvons aussi un coffret à bijoux : « un caixo de noguer per posar les joyes cobert de tela ». Le terme … Continuer la lecture
L’inventaire de la boutique de l’orfèvre de Perpignan Tarbal en 1718 donne un aperçu de productions uniquement en argent avec des bagues avec sept pierres blanches chacune, des bagues avec des pierres vertes et rouges, des boucles d’oreille, des boutons avec pierres d’agate, deux douzaines de Saint Jean, un agnus de filigrane, deux aiguilles de tête avec la queue de laiton à pierre vermeille, deux paires de pendants d’oreilles à façon … Continuer la lecture
« Prades, comme son nom l’indique est d’abord une prairie, un lieu de fraicheur, de verdure et d’abondance végétale. Sous le dôme de ses platanes, au bruit de ses fontaines, elle s’accoude paresseusement sur la terrasse de ses vieilles murailles espagnoles, à l’abri des formidables escarpements du Canigou qui domine tout son horizon. Comment rendre le charme estival de Prades, charme fait de beaux ombrages et d’eaux murmurantes, des tendres nuances … Continuer la lecture
Le Musée du diamant de Bruges se situe dans la capitale de la Flandre Occidentale en Belgique. Il est le plus récent des musées du diamant dans le monde. “C’est à Bruges au 15ème siècle que l’art de la taille du diamant a été inventé par le joaillier brugeois Lodewijk van Berquem. Le musée du diamant de Bruges offre une perspective unique du monde du diamant, habituellement inaccessible au grand public. … Continuer la lecture