



La Tia I Una fadrina ben fêta Com ne cria lo Rossellô, (bis) mis de foc, boca perfeta, Cantava aqueixa cansô. Tornada : La tia m ‘ha tor donat, Ja me soc prou festejat, Ay ! ay ! ay ! (bis) Me casaré are i may. (bis) II Un llit nou ab sa flassada Urdita de pur coto, Blanca y de flors ramejada Com l’istiu al Canigo. III Bells llensols com … Continuer la lecture
L’art du potier représente, Messieurs, l’une des premières manifestations de l’instinct artistique chez l’homme, de même d’ailleurs que l’art de ciseler le buis auquel durent s’exercer les premiers gardiens de troupeau. A partir du moment où l’homme des cavernes modela un peu de terre molle, à partir du moment où il lui donna des formes qui ne se contentaient plus seulement d’être utiles, mais tendaient à satisfaire un besoin de … Continuer la lecture
Colombe Pasqué, née à Torreilles la 2 novembre 1829, se marie avec Bonaventure Rameil (Palau del Vidre, 29/01/1824-23/11/1864).
Rose du Velay pendentif XIX° siècle en or massif orné de grenats. Longueur 67 mm bélière comprise Largeur 39 mm Poids 11,88 grs
En Roussillon, les bals les plus spectaculaires de la période des crinolines sont ceux donnés à l’occasion du carnaval de Perpignan. En 1851, la Revue maçonnique se fait écho de ces bals, notamment ceux donnés par les deux principales Loges maçonniques de la ville, la Loge Saint Jean des Arts et la Loge de l’Union. Les fastes de ces bals mettent en relief l’engouement des roussillonnais pour tout ce qui … Continuer la lecture
Justin Durand était l’un des deux fils de François Durand (1768-1852) négociant à Perpignan (expédition de vins vers les Etats-Unis, l’Australie et l’Inde) député des Pyrénées-Orientales (1816-1831), banquier créateur en 1826 de la banque parisienne François Durand et Cie, et de Marie Bonafos. François Louis Justin Durand ( Perpignan 13 avril 1798 – Trouillas (Mas-Deu) 2 décembre 1889) fut négociant et banquier à Perpignan (dont l’épouse Antoinette de Cagarriga jouissait d’une … Continuer la lecture
Les deux bustes, réalisés en argent doré par l’orfèvre perpignanais Michel Alerigues vers 1430, ont été l’objet d’une importante vénération. En 1900 nous voyons sur ce détail de carte postale les nombreux exvoto en argent suspendus autour des statues.
Cette œuvre est une commande officielle passée à l’artiste par l’empereur Napoléon III sous l’entremise de l’écrivain George Sand. Le tableau fut d’abord exposé au Musée du Luxembourg. Puis entre 1885 et 1948 au Musée des Beaux-Arts de Nancy. En 1948, le tableau est remis au Musée de Bouxwiller en Pays de Hanau (actuel Musée du Pays de Hanau), une petite institution locale qui se propose de retracer l’histoire et la sociologie de la bourgade de Bouxwiller … Continuer la lecture
Comédiennes et cantatrices furent par la gravure et le portrait photographique, de véritables icônes de mode sous le Second-Empire. Les exemples montrent la place primordiale du bijou, très important par la taille et les matériaux. Cela nous incite à penser que ces photos sont probablement, en plus de donner un visage à ces femmes, aussi un genre de publicité “subliminale” pour la bijouterie industrielle parisienne, un secteur très important à cette époque.