



Philibert Orry (Troyes, 1689-La Chapelle-Godefroy, 1747) est nommé intendant à Soissons (1722), à Perpignan (1727) et enfin à Lille (1730), puis contrôleur général des Finances toujours en 1730 dans une France touchée par la banqueroute de Law. Sa politique rigoureuse ramène le pays à un équilibre budgétaire. En poste pendant 15 ans, il réforme les impôts et favorise la circulation des marchandises en repensant le réseau routier et les voies navigables. Appuyant ses … Continuer la lecture
Entre 1820 et 1878, le baron Isidore Taylor, assisté de Charles Nodier et Alphonse de Cailleux, réalise les vingt volumes des Voyages pittoresques et romantiques dans l’ancienne France. Les lithographies réunies dans chaque volume représentent aussi bien des monuments civils, militaires et religieux que des paysages ou des scènes de la vie quotidienne de la France de l’époque. Ce travail monumental est un témoignage précieux de la situation du patrimoine bâti en France dans la première moitié du XIXe siècle. Il a … Continuer la lecture
Don Joseph de Sorribes i Peguera, baron de Serralongue, Palalda et Cabrens, vient de mourir ce mois de décembre 1672 en son hôtel particulier, paroisse Saint Jean-Baptiste à Perpignan, plus précisément à la rue de la Main de Fer. Il était marié à Théodora d’Ortaffa. Leur unique fille Josepha épousera l’année suivante Francesc de Ros, comte de Sant Feliu. Voyons ensemble les bijoux que le notaire trouva dans les … Continuer la lecture
On ne le présente plus en cette année qui marque le centenaire de sa disparition. Le poète Maillanais est plus que jamais à l’honneur, toutes les associations en pays d’Arles et au delà en pays d’Oc tiennent à lui rendre son hommage. Conférences, expositions, felibrejades, inaugurations de stèles, plaques, bustes ou statues, de places, de rues… qui sait encore combien de lieux se seront vus baptisés ou remis à l’honneur. … Continuer la lecture
Poème “la robe entravée” paru dans le Cri Catalan en octobre 1913. A la Belle Epoque, en 1910, Paul Poiret crée un redoutable vêtement pour les femmes. Il s’agit d’une robe fuselée resserrée dans le bas et retenue par une martingale intérieure nommée entrave. Sous le jupon, un dispositif serre les mollets pour empêcher tout déchirement du vêtement. Inutile de dire que la marche devait être restreinte. En témoigne l’écrivain Maurice … Continuer la lecture
L’épouse du marin, tableau attribué à Jean-Augustin Franquelin (français, Paris 1798-1839 Paris) Huile sur toile Dimensions: 15 3/8 x 18 1/2 po (39 x 47 cm) Collection Whitney, don de M. et Mme Charles S. McVeigh, par échange 2003. Numéro d’accession: 2003.42.31 Métropolitan Museum of Art, New-York, USA.