



Portrait de madame BATAILLE, née marie Anne POUSSIN, âgée de 57 ans, septembre 1845. Peint par Isidore CASSE. Est de la France.
Source : Ancien évêché de Perpignan, rue de l’Académie. Vitrail réalisé à la demande de Jules de Carsalade du Pont.
Pyrénées-Orientales. (15 janvier-7 février 1831.) Éditeur : Impr. d’A. Hénault (Toulouse) Date d’édition : 1831 Sujet : France (1830-1848, Louis-Philippe) Type : monographie imprimée Langue : français Format : In-4 °. Pièce Format : application/pdf Description : Appartient à l’ensemble documentaire : MidiPyren1 Description : Appartient à l’ensemble documentaire : LangRous1 Droits : domaine public Identifiant : ark:/12148/bpt6k5683496v Source : Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l’homme, 4-LB51-472
Parler de Perpignan au XVIIIe siècle sans évoquer la tenue vestimentaire de ses habitants serait se priver d’une source d’informations moins anecdotique qu’il n’y paraît sur le déroulement de l’existence dans la capitale de la province de Roussillon1. La documentation écrite et iconographique atteste d’une manière de vivre où le vêtement tient un grand rôle, à la fois social et politique. Toute histoire du vêtement implique une étude … Continuer la lecture
Lors de l’inventaire dressé le 23 septembre 1793 à son domicile de Perpignan, paroisse Saint Jacques rue de l’Anguille, la citoyenne Jaubert Vermell, dont le mari vient de partir en émigration, déclare posséder dans son mobilier : « un tableau à corniche dorée représentant sainte Jeanne de Valois, que la citoyenne Jaubert a déclaré lui provenir d’un legs a elle fait par le feu père Serane son oncle. » Cette peinture provenait-elle … Continuer la lecture
Devant de corsage en or 750 millièmes découpé, à décor floral et feuillagé, ponctué de grenats ronds facettés en serti clos rabattu. Travail probablement espagnol de la fin du XVIII°, début XIX° siècle. (petits accidents, traces d’étain) Poids brut: 16.20 g. Haut: 10 cm. Date de vente : 22/02/17 Maigret (Thierry de) EMail : contact@thierrydemaigret.com Tél. : 01 44 83 95 20
Croix normande, poinçon d’orfèvre avec l’aigle bicéphale caractéristique de la ville d’Argentan sous le règne de Louis XVI. ALENÇON : la plupart des orfèvres reprennent les armes de la ville (“d’azur à une aigle éployée à deux têtes”), accolées de leurs initiales. Malheureusement, cette pratique ne constitue pas une obligation, de même des maîtres d’autres villes normandes (Argentan) ont également utilisé l’aigle bicéphale (couronnée) aux ailes déployées (éployées).