



Delphine Cazes épousa Prosper Auriol, banquier perpignanais, conseiller municipal et militant républicain. Photo prise vers 1875 alors qu’elle est déjà veuve.
Marie était la fille unique de Aimé Massot-Reynier et de Félicité Guiter. Elle épousera le notaire perpignanais Adolphe Amouroux le 16 juin 1857. C’est un personnage important, légitimiste, rédacteur en chef du journal Le Roussillon entre 1870 et 1882. Son étude notariale est établie au 12 rue Foy, immeuble devenu par la suite l’école madame Roland. Adolphe Amouroux fut au centre d’une importante banqueroute à la fois de son étude notariale mais surtout … Continuer la lecture
Joséphine Parès est la nièce de Théodore Parès, député orléaniste de l’arrondissement de Prades de 1837 à 1848. Elle se marie avec l’imprimeur Jean Baptiste Alzine (1803-1883) dont elle aura quatre filles : Angèle (1843-1926) qui épousa Adrien Fabre Marie (1844-1904) qui épousa Osmin Aragon Isabelle (1845-1880) qui se marie avec le notaire Henri Boluix Caroline (1850-1927) qui épousa Alexis Domenech
Marie Alzine (1844-1904) était l’une des quatre filles de l’imprimeur libraire perpignanais Jean-Baptiste Alzine (1803-1883) et de Joséphine Parès (1820-1891). Elle épousa le 18 janvier 1865 à l’age de 21 ans Osmin Aragon (1826-1884), licencié en droit, qui en avait 38 et dont le père; Joseph (1802-1869) fut maire de Perpignan de 1852 à 1855. Biblio : Nouveau Dictionnaire des Biographies Roussillonnaises, volume 1, 2011, p.43-44 et p.63.
Isabelle Alzine (1845-1880) était la fille de l’imprimeur libraire Jean-Baptiste Alzine (1803-1883) et de Joséphine Parès (1820-1891). Sa tante Justine (1802-1871) épousa le docteur Paul Massot, l’un des principaux responsables du parti républicain des Pyrénées-Orientales. Toutefois, Isabelle fut baignée durant sa jeunesse dans le milieu légitimiste et carliste, son père ayant été l’un des principaux correspondants et financiers du parti de Don Carlos durant la première guerre carliste (1833-1839). … Continuer la lecture
Aux Dames de Perpignan Je sais que bien souvent, jeune fille ou femme, De votre main de fée aux doigts faits en fuseaux, Vous émiettez avec une part de votre âme, Le pain de chaque jour aux plus petits oiseaux. Dieu, qui sourit alors à votre œuvre, Madame, Vous bénit, vous protège, et vous garde des maux, Il sait que votre cœur a passé par la flamme, De la sainte … Continuer la lecture