



La dernière semaine qui clôture les réjouissances de carnaval est attendue avec encore plus d’envie par le tout Perpignan. Traditionnel, le bal du Jeudi-gras qui sera celui de toutes les attentions, est donné au théâtre dès 1836 pour la jeunesse de bonne famille. D’autres bals y sont organisés tout au long de la période ainsi que dans différentes salles de la ville. Les sociétés de garçons louent des salles à … Continuer la lecture
Carnaval est une fête sociale établie depuis longtemps à l’intérieur de la cité ainsi que dans ses faubourgs. Durant le période des grands froid, il convient à toute la population de la ville de se défouler avant l’entrée en carême. Le mardi gras, avant dernier jour de fête, donne lieu à la rituelle bataille de dragées de plâtre dans les rues de la ville. Le général de Castellane en fait le récit. … Continuer la lecture
Boniface de Castellane(1788-1862), qui avait participé comme colonel de hussards à l’expédition d’Espagne en 1823, est nommé maréchal de camp, à Perpignan dix ans plus tard en 1833. En 1837, nommé lieutenant-général, il prend en 1838 le commandement de la division de Perpignan jusqu’en 1847. «Je comptais rester à l’Hôtel de l’Europe, ne pensant pas séjourner plus d’un mois à Perpignan, le mois changea en quatorze ans. Il en est ainsi souvent des … Continuer la lecture
Notice sur le peintre Pierre François Capdebos, né et décédé à Perpignan dans : Annales de la Société libre des beaux-arts, (Paris), Bureau du Recueil des beaux-arts et de l’industrie, Carillan-Goeury et V. Dalmont, Impr. de Ducessois, éditions A. Johanneau Librairie Renouard, 1836.
BOHER naquit à Villefranche-du-Conflent, en 1781. Il était fils d’un marbrier tailleur de pierre. Il annonça dès son jeune âge de grandes dispositions pour le dessin, travaillant sans maître d’après les gravures qu’il pouvait se procurer. L’intendant de la province, Raymond de Saint-Sauveur, ayant vu quelques-uns de ses essais, l’encouragea beaucoup, et dans un second voyage qu’il fit en Conflent, il fut si enchanté de la délicatesse avec laquelle le jeune … Continuer la lecture
Chanson en catalan du milieu du XIXe siècle lithographiée chez Saignes dont l’atelier se situe alors au 14 rue de la Loge. On voit représenté sur le frontispice du feuillet contenant la partition et les paroles de cette chanson en l’honneur de l’âne catalan, la représentation de son maître. Un fringant roussillonnais en costume traditionnel pourtant un pantalon de velours, une veste courte et cintrée , la faixa (ceinture) enroulée … Continuer la lecture
Source : Bulletin de la Société philomathique de Perpignan, Imprimerie de J.-B. Alzine (Perpignan), 1834.