



Le débat fait rage en 1883 entre Républicains et Catholiques royalistes. Par le biais du journal local l’Espérance, les conservateurs prennent conscience du fait catalan de l’autre coté de la frontière, avec des noms tels que Mossen Jacint Verdaguer par exemple. Les frères catalans n’ont aucun problème à méler culture catalane et religion catholique, chose qui ne peut que faire envie aux royalistes du Roussillon. L’Espérance, Perpignan, 03 08 1883.
Description peu de temps après sa consécration de l’église du Sacré-Cœur (aujourd’hui établissement scolaire saint Louis de Gonzague) du à l’architecte Castanier et à la maison de travaux Fontano. On y apprend notamment que des peintures murales ont été réalisées par Pauthe, auteur de la plupart des fresques de la cathédrale de Perpignan. L’Espérance, Perpignan, 1883.
L’Espérance, 18 05 1883.
La première des salles latérales du Musée de Perpignan, alors dans l’ancienne Université, et qui prennent jour sur la cour est presque entièrement occupée par les dons de Bédos : dessins et esquisses de Coypel, Maurin, Palma, Carrache, Huet, Calame, Bourgeois, Hubert, Ciceri, Gaverni, Dépendant, Charlet, etc. Stéphane Bédos avait un frère, le chanoine Bédos, vicaire-général honoraire. Anecdote amusante que celle du mariage de ce personnage, relaté dans le journal … Continuer la lecture
Lors de la semaine sainte de l’années 1883, la cathédrale remettait à l’honneur le Stabat Mater du musicien perpignanais Pourtet (1797- ). Source : L’Espérance, 24 03 1883.