



Je t’aime pour ta plaine onduleuse et féconde, Pour l’éclat de ton ciel, la tiédeur de ton air, Ô Roussillon, blotti comme une crèche blonde Entre la Montagne et la Mer ! Je t’aime pour tes champs où la luzerne pousse, Pour tes forêts de pins où la lune s’endort, Pour tes coteaux escaladés de vigne rousse, Pour tes sommets irradiés de neige d’or ! Je t’aime pour les … Continuer la lecture
Beau portrait d’une jeune femme en robe écossaise avec deux bracelets, l’un en or et l’autre probablement en perles d’agate, spécialité des bijoutiers d’Idar Oberstein en Allemagne. Source : proantic.com
Henry Mosler (né le 6 juin 1841 à Tropplowitz, Pologne actuelle, et mort le 21 avril 1920 à New York), est un peintre américain, graveur sur bois, dessinateur et illustrateur qui a documenté la vie américaine, y compris les thèmes coloniaux, illustrations de la guerre de Sécession, et fait des portraits d’hommes et de femmes de la société. En 1877, il est en France, en Bretagne. A Pont-Aven, il peint The Quadroon … Continuer la lecture
Soumis aux fluctuations de la conjoncture, les ateliers de bijouterie connaissent une importance variable à Perpignan au cours du XIXe siècle. En 1858, l’atelier du bijoutier Joseph Mourat, 20 rue de l’Argenterie, comprend par exemple « un établi à 7 places, plus une place séparée ». Comptant près de dix employés, cet atelier, par le volume de son personnel, n’est pas loin d’atteindre une dimension industrielle. A la faveur de cette situation, … Continuer la lecture
Précoce et durable depuis le siècle des Lumières, la première des formes de sociabilités est, à Perpignan, celle de la franc-maçonnerie. C’est donc dans ce cadre, réactivé sous le Second empire, que se réunissent en premier lieu certains artisans bijoutiers. Ainsi, Edmond Mourat, orfèvre-bijoutier, Alexis Lacoste, ancien bijoutier, et Edmond Gibert, orfèvre, appartiennent à la loge « l’Union » entre 1853 et 1855. En 1858, le bijoutier Joseph Parès figure parmi les … Continuer la lecture